Conseils et suivi en psychologie
Consultation en cabinet, en visio ou à domicile
Conseils et suivi en psychologie
Consultation en cabinet, à distance ou à domicile
Bienvenue sur mon site, je suis David MAZOYER Psychologue Clinicien
Diplômé de l’Université Lyon 2, j’ai plus de 35 ans d’expérience en psychologie et psychothérapie.
Une approche bienveillante centrée sur vos besoins
Une approche bienveillante centrée sur vos besoins
Après une carrière en institutions, j’exerce aujourd’hui en pratique libérale afin de proposer un accompagnement personnalisé et adapté à chacun.
Ma mission : vous aider à mobiliser vos ressources personnelles pour surmonter les difficultés, retrouver un équilibre émotionnel, et améliorer votre qualité de vie.
Ma méthode de travail
Je m’appuie sur une approche globale qui prend en compte :
• Le biologique (le corps)
• Le psychique (le mental, les émotions)
• Le social (relations et environnement)
Mes techniques
1. Psychanalyse : Approche fondamentale pour l’évaluation, le diagnostic et l’élaboration d’un projet thérapeutique contractualisé.
2. Thérapie ACT (Acceptation et Engagement) : Approche comportementale et cognitive de troisième vague, concrète et efficace dans de nombreuses situations.
3. Évaluation neuropsychologique : Tests standardisés adaptés : • Aux troubles du neurodéveloppement (TDAH, TSA…) • Aux troubles des apprentissages • À l’accompagnement professionnel (orientation, reconversion…)
4. Médiation & Guidance : Inspirées du counseling nord-américain, ces méthodes facilitent l’ajustement dans la sphère familiale, sociale ou professionnelle.
Pour qui ?
J’accompagne :
• Enfants
• Adolescents
• Adultes
• Parents et Familles
Spécialisation dans l’accompagnement des personnes :
• Avec des TSA ou TND
• Rencontrant des difficultés dans les apprentissages scolaires, universitaires ou professionnels
• En situation de reconversion professionnelle ou en difficulté pour surmonter une transition de vie douloureuse (séparation, deuil)
• Ayant subi un traumatisme crânien ou une maladie invalidante
• En situation de souffrance psychique
Mon cabinet
• À Salon-de-Provence, Espace Coworking – Place de la Gare
• À Aix-en-Provence, Espace Coworking – Gare SNCF – Place Pierre Sémard
• En visio-consultation
• À domicile (dans des cas particuliers)
L’accompagnement psychologique à distance a ses limites, mais la visio peut convenir à des démarches de guidance ou médiation.
La première rencontre
• Objectif : faire connaissance, poser les bases d’une relation de travail.
• Pour vous : décider si vous souhaitez vous engager.
• Pour moi : évaluer ma capacité à répondre à vos besoins.
Cette première séance ouvre un cycle de collaboration, pouvant déboucher sur un engagement thérapeutique mutuel.
Vous avez des questions ?
Je suis à votre écoute. Si votre demande sort de mon champ de compétences, je m’engage à vous orienter vers un professionnel plus adapté.
Quelques questions fréquentes...
Quand et pourquoi consulte-t-on un psychologue ? Consulter un psychologue signifie-t-il que l’on est malade ?
Il est recommandé de consulter un psychologue lorsque l’on ressent une souffrance psychique persistante, en particulier si elle dure depuis plusieurs semaines. Consulter un psychologue ne signifie pas que l’on est “malade” au sens pathologique du terme. Au contraire cela témoigne d’une forme de lucidité et de maturité personnelle, reconnaitre que l’on ne va pas bien et demander de l’aide est un signe de bonne santé psychique.
A l’inverse les personnes profondément atteintes psychiquement n’ont souvent plus la capacité de reconnaitre leur souffrance et ni de demander de l’aide.
Comment reconnaitre la souffrance psychique ?
Elle peut se manifester de différentes façons que l’on peut regrouper en 3 grandes catégories d’indicateurs :
1° Les indicateurs émotionnels : fatigue persistante, sentiment de vide d’inutilité ou d’impuissance, peur de l’avenir, peur de la mort, idées noires, inquiétudes envahissantes (notamment à l’égard des enfants ou des proches), angoisses irrationnelles que l’on ne parvient pas à maitriser.
2° Les indicateurs biologiques : maux de têtes, boules dans la gorge, vertiges, troubles du sommeil, troubles digestifs, troubles de l’évacuation (constipation, diarrhée), baisse de la libido.
3° Les indicateurs comportementaux : changements inhabituels dans votre manière d’être, vous “surprenez” vos proches qui ne vous reconnaisse plus : agressivité agacement et énervement par exemple. Une consommation d’alcool modéré mais régulière et systématique, une distance émotionnelle à l’égard de votre partenaire, des absences régulières à vous-mêmes (vous êtes “dans la lune”), un besoin croissant de vous isoler.
Un indicateur que la situation s’aggrave c’est lorsque vous vivez cela “comme si” la situation ne vous concernait pas.
La souffrance psychologique fait partie de la vie, il ne s’agit pas de consulter à la moindre contrariété, mais si la souffrance persiste au fil des semaines, mieux vaut ne pas attendre. Plus la souffrance dure, plus elle risque de s’ancrer et de se transformer en un problème durable qui deviendra alors une vraie maladie. Consulter rapidement permet d’éviter cela.
Comment aider un proche dont on constate la souffrance mais qui refuse de le reconnaitre et de se faire aider ?
Il est excessivement difficile d’imposer à un tiers de consulter s’il se refuse à reconnaitre sa souffrance. Si cette souffrance vous devient intolérable, c’est qu’elle vous fait souffrir aussi, elle s’immisce en vous au point de vous faire souffrir. Mon conseil alors est que consulter pour vous-même est la meilleure façon d’aider la personne que vous aimez.
Je crains de ne pas être capable de parler au 1° rendez-vous et surtout de ne pas être capable de parler de mes vrais soucis. Est-ce que cela signifie que consulter un psychologue n’est pas fait pour moi ?
Pas du tout, au contraire. Le premier rendez-vous est souvent vécu comme une épreuve par beaucoup de personnes. Il représente un moment de conflit intérieur : un conflit entre votre besoin de sécurité, votre besoin de faire confiance et votre besoin profond d’être entendu, d’être reconnu
Ce conflit parfois intense peut amplifier momentanément votre souffrance, au point de vous bloquer, de vous empêcher de dire un mot ou de vous amener à parler de banalités au lieu de vos vraies difficultés. C’est tout à fait habituel.
Vous n’avez pas besoin de savoir “comment commencer”, je suis là pour prendre le temps qu’il faut, pour vous accompagner dans cette première étape, pour vous aider à formuler vos pensées, à clarifier vos préoccupations, et trouvez peu à peu l’espace d’expression dont vous avez besoin et qui vous est propre.
Nous cheminons ensemble, pas à pas, jusqu’au moment où vous pourrez parler librement, avec confiance.
Combien de temps dure une psychothérapie ? Suis-je libre d’arrêter quand je le souhaite ?
Il m’est impossible de déterminer à l’avance la durée d’une psychothérapie. Bien que cela soit rare, une seule séance peut parfois suffire à provoquer un déclic suffisamment important pour qu’un changement définitif se produise. A l’inverse un travail thérapeutique peut s’étendre sur plusieurs mois voire plusieurs années, tout dépend de vos besoins et de vos attentes … et de leurs évolutions au fil du temps.
La psychothérapie repose sur le libre engagement des 2 parties. Vous êtes donc libre d’interrompre le travail thérapeutique à tout moment. De même le thérapeute peut estimer qu’il n’est plus en mesure de vous permettre de progresser.
Cependant le psychothérapeute est le garant du cadre. Il s’engage à le protéger et à le maintenir dans votre intérêt. Cela signifie qu’il fera son possible pour empêcher les ruptures impulsives, qui pourraient vous fragilisez davantage. En revanche je respecterai toujours votre décision si la relation thérapeutique n’a plus de sens pour vous. Il ne s’agit jamais d’imposer une présence, mais de travailler ensemble tant que cela est bénéfique pour vous.
Quelle est la différence entre un psychologue et un psychiatre ?
Le psychiatre est un médecin spécialisé dans les troubles mentaux. Il pose un diagnostic médical, propose un traitement médicamenteux, assure un suivi psychiatrique et parfois peut proposer de la psychothérapie.
Le psychologue n’a pas de formation médicale, il est titulaire d’un Master Universitaire en psychologie, ce qui lui donne une expertise dans l’étude du comportement humain. Ainsi le psychologue peut être un spécialiste du comportement au travail, du sport ou encore de la santé. Dans ce dernier cas il est un spécialiste de l’évaluation du fonctionnement psychique, du comportement et de la souffrance psychique ainsi que des relations interpersonnelles. Il peut proposer de la psychothérapie après une formation complémentaire à l’issue de son cycle universitaire.
Un psychologue clinicien spécialisé en psychopathologie travaille fréquemment avec des psychiatres et peut, si nécessaire vous orienter vers un suivi médical.
Comment choisir entre consulter un psychiatre ou un psychologue ?
Il n’est pas essentiel de savoir qui consulter en premier lieu. L’un comme l’autre saura vous orientez vers le bon professionnel selon vos besoins. Cependant les délais pour consulter les psychiatres sont souvent longs. Les psychologues offrent généralement une première écoute plus rapidement, ce qui permet une première évaluation de qualité.
Cette évaluation pourra permettre :
- D’identifier une situation d’urgence nécessitant la consultation d’un psychiatre rapidement,
- De reconnaitre une situation sérieuse mais pour laquelle une prise en charge conjointe avec un médecin généraliste sera suffisante,
- Permettre une prise en charge psychologique rapide si la situation ne présente pas de risques immédiats.
L’essentiel est de ne pas rester seul avec sa souffrance psychologique.
Peut-on suivre une psychothérapie et un traitement psychiatrique en même temps ?
Oui ces deux approches sont complémentaires. Dans de nombreux cas la psychothérapie est même recommandée en parallèle d’un traitement psychiatrique et si ce n’est pas le cas, elle n’est jamais déconseillée.
Il m’arrive couramment de conseiller à une personne de consulter un psychiatre afin de bénéficier d’un traitement qui peut soutenir le travail psychothérapeutique.
Quand cela est possible, mais seulement avec l’accord de la personne et du médecin, je privilégie la coordination avec le psychiatre, pour un accompagnement global centrée sur les besoins de la personne.
Ce qu’il faut retenir c’est que la psychothérapie repose sur une démarche personnelle, la reconnaissance, par une personne en souffrance, d’un besoin d’aide humaine au-delà d’un simple traitement.
Les consultations chez un psychologue sont-elles remboursées ?
Dans certains cas oui, mais seulement dans certains cas.
1° Par la sécurité sociale, via le dispositif “mon suivi psy”.
Pour cela le psychologue doit être agréer par l’Assurance Maladie
Le remboursement est limité à 12 séances par an et il y a incompatibilité avec un suivi psychiatrique en parallèle.
Pour l’instant je n’ai pas engagé cette démarche.
2° il est possible que votre mutuelle propose une prise en charge de vos consultations. Les modalités varient selon les mutuelles, je vous recommande de consulter directement votre contrat ou le site de votre mutuelle.
3° en cas de handicap important, ouvrant droit à la PCH (Prestation de Compensation du Handicap) vous pouvez faire une demande de PCH à votre MDPH pour couvrir les couts de vos consultations.
La psychanalyse rend elle les parents responsables des troubles de leurs enfants ?
Non cette idée est fausse et préjudiciable.
La psychanalyse ne cherche pas à désigner un “coupable” et encore moins les parents. Elle s’intéresse au fonctionnement psychique d’une personne à la manière dont elle perçoit et interprète le monde et ses relations.
Le psychanalyste ne connait pas les parents réels de son client, mais les représentations que celui-ci s’est faites de ses parents lesquelles révèlent davantage sur lui-même que sur ces parents.
En psychanalyse parler des autres s’est souvent parler de soi.
Aucun parent n’est parfait, mais aucun parent n’est complètement défaillant non plus. Chaque enfant a eu besoin d’un parent pour naitre, et en cela, chaque parent est essentiel et exceptionnel.